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Alfred vient de s’offrir un superbe cabriolet décapotable à un prix exorbitant! Fière de l’étrenner, je reviens à faire des courses en ville, il n’est pas loin de midi, le camion avec la grosse bétonnière freine devant moi. Mon pied écrase la pédale de frein, je donne un coup de volant, cela ne suffit pas, le choc a lieu. Je descends, le chauffeur du camion inspecte les dégâts.
— Eh bien je n’ai, rien, vous par contre, votre phare et votre clignotant sont complètement cassés. Mais c’est vous qui êtes en tort, vu que vous m’avez percuté par l’arrière! Allez au revoir ma petite dame, me dit le chauffeur routier.
Il me plante là, remonte dans son camion et part. Je ne veux pas appeler Alfred, la voiture est neuve! Il m’a fait tout un tas de recommandations, hésitant à me la prêter, il m’a même parlé d’une punition si seulement je l’érafle. J’ai acquiescé, je voulais à tout prix l’essayer. Mais, maintenant, il faut que je me débrouille. Je cherche un garage sur mon téléphone, coup de chance, il y en a un à quelques rues d’ici. Je me dirige vers ce qui me semble le paradis des automobilistes en détresse.
Je me gare devant et entre, une flèche désigne l’accueil, je pousse la porte du réduit. Un noir obèse d’environ soixante-cinq ans est assis derrière un bureau encombré de paperasses. Un jeune homme, noir lui aussi est debout derrière le patron, le gros homme lève les yeux sur moi et continue sa lecture.
— Oui, bonjour asseyez-vous, je suis à vous dans un instant.
Je porte un tailleur très chic de couleur crème, la veste a un décolleté assez profond et la jupe une fente assez conséquente sur le devant. La chaise sur laquelle il me propose de m’asseoir a une propreté somme toute vraiment relative, mais j’obtempère. Il lève les yeux vers moi. Je ne le trouve pas avenant, presque désagréable.
— Oui que puis-je pour vous?
— Je viens de casser mon phare et mon clignotant droit, pourriez-vous s’il vous plaît, me les réparer, maintenant si vous pouviez, je suis assez pressée, vous seriez très gentil!
— Vous avez-vu l’heure Madame? Il est midi passé.
— Oui… mais…
— Non… non…
Je croise mes jambes, il aperçoit les lanières de mon porte-jarretelles, ma jupe remonte. Alfred désire que je ne porte ni string, ni soutien-gorge lorsque je sors en ville, ça l’excite, dit-il et puis cela peut provoquer une aventure érotique et il adore que je lui la narre avec force de détails.
Je décroise mes jambes lentement, ses yeux s’écarquillent, il avait dû entrapercevoir ma chatte bien rasée. Je me lève et m’approche de son bureau d’une démarche chaloupée. Un magasine porno s’étale devant lui. Je me penche, ma veste baille, son regard ainsi que celui de l’arpète plongent dans l’échancrure, ils aperçoivent mes seins libres de toute entrave.
— Alors, ce n’est vraiment pas possible, ma langue passe doucement sur mes lèvres.
— Heuuuu, peut… peut être que si. Je vais mettre mon apprenti sur le coup, il y a un petit resto au coin de la rue, allez déjeuner, si vous voulez, revenez dans une heure.
— Merci, c’est sympa, lui dis-je, me penchant encore plus.
Je reviens une heure et demie plus tard après m’être sustentée. Le patron est dans son bureau en train de casser la croûte.
— La réparation est elle faite?
— Je crois que oui, mais asseyez-vous!
En posant mes fesses sur le bord de la chaise, je remonte ma jupe à la limite des attaches de mon porte-jarretelles et écarte mes genoux.
— Rince toi l’œil, pensai-je.
Il ne se gêne pas pour le faire! Fixant sans vergogne mes jambes gainées de bas noir,
— Je n’ai pas beaucoup de temps pour faire votre facture, mais montrez moi, une pièce d’identité donnez-moi votre adresse, et je vous la ferai parvenir!
Je me lève et me penche à nouveau sur son bureau pour lui montrer mes papiers et mes seins, il relève mon nom et mon adresse, tout en fixant intensément ma poitrine.
— Laissez-moi votre carte grise et allez voir Jack, je crois qu’il a fini!
Je me dirige vers ma voiture, l’apprenti, un jeune noir d’environ une vingtaine d’années passe un chiffon sur le capot. Il est assez maigre et plus petit que moi.
— Le patron m’a fait bosser toute la pause pour réparer la casse!! Voilà, c’est fini!
— C’est très gentil, je pourrai avoir les clés?
Il laisse tomber le trousseau de clés, je me penche pour les ramasser. Il y donne un coup de pied, les repoussant plus loin. En me courbant, le dernier bouton veste de mon tailleur se défait et elle baille largement sur mes seins, les découvrant à la limite de mes aréoles. Je me redresse, et ne reboutonne pas ma veste.
— Je ne sais pas si tu es au courant, mais ton patron m’a dit que je peux récupérer ma voiture!! Je suis pressée et j’en ai besoin maintenant.
— Oh putain vous avez des nichons magnifiques! J’aimerais bien les sucer!
— Arrête de mater mes seins! Et écoute moi. Donne-moi mes clés, ou je vais voir ton patron!
— Allez-y, mais je crois qu’il vient de partir avec un client.
Effectivement, Ataşehir travesti une voiture sort du garage. Mince, je suis coincée. A moins que… le regard du mécanicien ne quitte pas l’échancrure de ma veste.
— Hey, mon biquet! Je pense que nous sommes partis du mauvais pied!! Ton nom, c’est bien Jack, moi, c’est Trixie.
— Oui madame.
— Hé bien Jack, tu as l’air d’aimer mes seins! Veux-tu que je te les montre?
— Oh putain oui, madame.
Je déboutonne les deux deniers boutons de ma veste, et l’écarte. D’un mouvement rapide, il en saisit les revers, surprise; je n’esquisse aucun geste, et avec dextérité, il me la quitte et l’envoie sur la banquette de la décapotable. Ses mains se tendent vers mes seins, je lui en bloque une. Sa main libre descend son short, il le baisse, il est nu dessous…
— Tu ne touches pas mes seins, petit morveux. Mes yeux se portent sur sa bite.
— Oh merde, je n’ai jamais vu des nichons aussi beaux, regarde tes tétons sont tout durs.
Mes yeux ébahis fixent l’énorme boudin noir qui pend entre ses jambes, le bout de son prépuce lui arrive presque au genou, il commence à bander.
— Putain, ce n’est pas vrai! Pensai-je. Tous les noirs que je connais ont une queue aussi grosse et aussi longue. On dit que c’est une légende, mais pourtant, c’est la réalité! Sa bite est presque plus grande que celle de Gérald!
Je suis habituée aux membres gigantesques, les amants noirs que j’ai eu possèdent tous le même modèle. Mais vu son apparence de gringalet et sa petite taille cela me laisse pantoise, je suis figée par la surprise. Il quitte son marcel, et profite de ma stupeur pour me saisir un sein d’une main, et de l’autre commence à se branler, calottant et décalottant son gland bistre.
— Mince Trixie, tes nichons sont aussi parfaits à la vue qu’au toucher!!
Profitant de ma surprise, il penche la tête, et se met à me lécher les aréoles et mordiller tour à tour mes petits cônes bruns qui se gorgent de sang. Je ne réagis pas à ses caresses buccales. Je suis subjuguée par le boudin qu’il a exhibé.
— Quelle est la longueur du monstre qui pend entre tes jambes! Rien que de le voir ça me fait mouiller.
Il m’a enlacé et s’acharne à me téter les mamelons, il me prend la main et y dépose son immense rouleau de chair noire. Je ne réagis pas à son étreinte, encouragé par ma passivité, il éructe.
— Branle moi? Branle moi. Il est gros hein!
— Je ne devrai pas faire ça, et te laisser me tripoter, mais je mouille trop, ta grosse bite m’excite trop!! Lui dis-je en commençant à le masturber doucement.
— Tes mamelons sont super longs et ont un goût merveilleux!! Dis, c’est vrai que je te fais mouiller. J’ai vu dans le bureau du patron quant tu étais assise que tu avais des bas et un porte-jarretelles, j’ai même cru voir que ne tu ne portes pas de string, petite salope.
Je suis prise au piège, cela m’appendra, mais ça ne me déplaît pas de me retrouver dans cette situation. Sa main dans mon dos descend la fermeture éclair de ma jupe, elle tombe sur mes chevilles. Il se baisse pour la ramasser et la jette avec ma veste. Je suis nue avec seulement mes bas et mon porte-jarretelles.
— Putain que tu es belle, j’avais bien vu petite salope tu ne portes pas de string. Ta chatte rasée est splendide encadrée par ton porte-jarretelles noir, putain que tu m’excites salope de blanche!
Je suis assez flattée de ses réflexions salaces. Il passe derrière moi, il est plus petit, sa queue se faufile entre mes jambes, je la vois aller et venir se frottant sur ma chatte baveuse, ses mains pétrissent mes seins, il me lèche le dos.
— Mon petit chéri si tu me donnes les clés de ma voiture, tu pourras enfiler ta grosse bite dans ma chatte!! Mais seulement quelques instants et tu n’éjaculeras pas en moi, promis!
Les clés ne sont plus qu’une excuse, je désire ardemment qu’il me pénètre, sentir sa queue noire au fond de ma chatte, son sperme couler en moi. Sa main gauche passe entre la lanière de mon porte-jarretelles et ma cuisse, de sa main droite il présente le gland durci de son énorme bite noire à l’entrée de mon orifice vaginal.
— Ok, mais avant laisse moi te pénétrer! Penche toi un peu..Putain, ça glisse. Ta chatte est délicieuse! Tu mouilles tellement qu’on dirait qu’elle aspire ma bite. C’est comme si elle me la suçait!! Ooooohhh et puis c’est le pied, je n’ai jamais baisé une blanche et blonde comme toi, c’est bon, c’est bon! Toi aussi tu en as envie Salope!
Il est vraiment excité et impatient de m’enfiler entièrement son immense sexe noir! Heureusement que je porte des talons hauts, ça le freine un peu.
— Il est vraiment gros ton mandrin!! Ralentis, ralentis mon garçon ce n’est pas une course. Mais c’est vrai, ta bite me rend folle.
— Allez penche toi plus sur le capot et écarte plus les jambes, ma grosse bite entrera plus facilement. Làààà, tu vois, c’est bon, mais si tu ne me laisses que cinq minutes, je ne vais pas pouvoir te faire jouir. Tu aimes ma grosse bite noire?
— Ataşehir travestileri Arrête de parler et enfonce moi bien profondément ton gros rouleau, enfonce toute la longueur. Ouiiii là, c’est bien. C’est bon, encore, encore!
Il me fait mettre sur le côté, me soulève une jambe. Il bataille un peu pour me pénétrer.
— Tu n’en as rentré que la moitié, pourtant je mouille, elle doit glisser toute seule! Je la veux toute!
Il me couche sur le capot se met entre mes jambes et pousse fortement.
— Aaaahhhh, voilà, je la sens bien maintenant, ta gosse bite, elle est pleine de vigueur.
— Oui c’est parfait, ta chatte me l’enserre bien, je voudrais bien éjaculer en toi!
— Plus fort, plus profond, plus vite ooohhhh!!! Je vais jouir surtout ne t’arrête pas continue!! Et surtout retire toi pour éjaculer!
— Petite Salope, je n’arrêterai pas tant que mon énorme bite ne t’aura pas fait jouir, et que tu me demandes grâce!!
Des pas me firent lever la tête, son patron, une feuille à la main arrive dans le dos de Jack, qui ne l’a pas entendu, prêt à jouir.
— Arrête, tu dois arrêter! Je suis en retard, je dois y aller maintenant!! Lui intimais-je.
— Non Salope, tu n’iras nulle part tant que je n’aurai pas éjaculé mon sperme de nègre dans ta chatte de blanche. Oh putain, oh putain, je jouiiiis, tiens, tiens, putain, c’est bon de faire gicler ma semence dans une fille blanche, un peu de patience encore une ou deux minutes.
— Oooooohhh non, je t’avais demandé de ne pas éjaculer en moi!!
Le patron, la mine renfrognée tire le jeune homme par le bras, deux giclées de sperme s’étiolent sur mon ventre, et du liquide visqueux coule de ma chatte.
— Tu n’es qu’un petit con, espèce de paresseux!! Je ne sais pas ce qui me retient de te mettre une raclée, fous le camp! Oh putain ce petit salaud a éjaculé dans votre chatte, son sperme coule!
— Mais Monsieur, Jack n’a rien fait de mal, dis-je.
— D’accord! Mais je ne le paye pas, pour qu’il baise les clientes avec sa grosse bite. A ce propos, voilà ma facture.
J’y jette un coup d’œil.
— Quoi? Mille euros pour un phare et un clignotant…
— Eh ma petite demoiselle, les pièces, la main d’œuvre tout est hors de prix maintenant!
— Vous vous moquez de moi, je ne paierai pas une telle somme.
Il tire de sa poche un appareil photo numérique, et me fait visualiser la photo d’une voiture exactement semblable à la mienne, mais avec l’avant complètement défoncé.
— Si vous ne voulez pas payer, je porte plainte, vu les dégâts sur la voiture accidentée et vu l’aspect impeccable de la vôtre maintenant, je suis sûr de gagner. Alors!!
— Vous n’êtes qu’un voleur, un salaud.
— Peut-être, mais vous n’avez pas le choix, à moins que. Je vois que vous appréciez les grosses bites noires. Tu sais que de te voir complètement nue et ta chatte baveuse mise en valeur par tes bas et ton porte-jarretelles m’excite beaucoup, regarde.
Il fait coulisser la fermeture éclair de sa salopette et sort son sexe. Il bande, son phallus n’est pas aussi long que celui de Jack, mais d’un diamètre plus gros.
— Peut-être que si tu me laisses te baiser, ta facture pourrait être divisée par dix!
En disant cela, il passe derrière moi, et m’enlace de ses bras. Une petite voix me murmure dans la tête.
— Et pourquoi pas, tu n’as pas jouis tout à l’heure. Et puis Salope, tu as vraiment une addiction aux bites noires et monstrueuses, il est moche gros et affreux, mais ça t’excite, allez accepte! Et puis encore une histoire pour Alfred, cela atténuera l’accident et réduira la facture.
Je capitule, ma main saisit le gros cylindre dur comme du bois, elle n’en fait pas le tour.
— Ce n’est pas possible d’avoir une queue aussi grosse.
Il m’entraîne dans une petite pièce à côté de son bureau, il y a un lit, il s’y laisse tomber. Il me fait mettre à genoux devant lui, et glisse son phallus entre mes seins, me demande de les presser et il le frotte doucement.
— Oooooohhh putain! C’est le pied de frotter ma bite entre tes nichons! Fais-la bien durcir avant que je te baise..
— Son diamètre est monstrueux, je veux bien que tu me baises! Mais je ne sais pas si elle va entrer dans ma chatte?
— Trixie, tu es sûre que tu veux me laisser t’enfiler ma grosse queue?
— Oui, je veux bien, dis-je à nouveau excitée.
— Alors on va faire les choses dans l’ordre! Dit-il en s’asseyant sur le lit.
— Tu es une bonne petite salope de blanche! Suce bien la bite de Bob! Enfonce-la jusqu’à tes amygdales, c’est ça, ouiiiiii!
Avec la grosseur de sa queue, j’ai vraiment du mal à l’avaler, mais je m’applique et il se met à gémir de contentement. Ça m’excite énormément de voir ce gros homme trembler sous mes caresses buccales, je mouille abondement! Je de plus en plus surexcitée. Il faut que je jouisse, que j’enfile rapidement ce monstre en moi!! Cela devient une obsession Je monte sur ses cuisses, lui passe un bras autour du cou.
— Aaarrghhh! ta bite est Travesti ataşehir énorme, donne moi une minute pour que j’écarte bien ma chatte avec mes doigts.
— C’est quoi ton problème? Je suis le premier noir qui te baise avec une queue aussi grosse?
— Mais non, tu es loin d’être le premier. Oh oui!! c’est bon enfonce toi bien dans ma chatte!! Je vais te montrer de quoi je suis capable!! Oh oui!! c’est bon, c’est bon
— Oui je vois petite Salope, avec toi, je viens de gagner à la loterie! Tu viens de t’enfiler toute seule mes vingt cinq centimètres!
Mon foutre lubrifie l’énorme mandrin qui s’enfonce sans discontinuer au plus profond de mes entrailles. Mon premier orgasme me fait hurler de plaisir. Loin d’être satisfaite, je me mets à califourchon sur ses cuisses, et le chevauche avec furie.
— Putain dis-je, tu n’as pas encore joui.
— Je ne suis pas le gamin qui t’a baisé tout à l’heure! Je sais me retenir!! Allez, tourne toi, que je profite de tes seins.
— Enfonce la, encore plus profond et plus vite Bob. Oh putain qu’elle est bonne ta grosse queue.
— Tu en veux encore Salope! Combien de bites ont pénétré ta douce chatte cette semaine? Celle de ton copain est aussi grosse que la mienne?
— Ouiiiiii. La bite noire de mon pote Gérald est aussi grosse que la tienne, et plus longue.
Il a l’air déçu de ne pas être le premier à me baiser ainsi. Bob martèle ma chatte enfonçant sa bite de plus en plus profondément! Il grogne tellement fort, que je me demande si un jour, il a enfoncé sa grosse bite aussi loin dans une femme.
Je suis maintenant à genoux sur le lit, il me pénètre entièrement, me passe un bras autour du cou, il me relève, je tourne la tête et lui donne un baiser fougueux. J’adore la façon dont il me tripote! J’ai oublié qu’il est très moche, vieux et obèse, il est vraiment trop fort pour me tirer du plaisir.
— Tu a une queue exceptionnelle! Dorénavant, je ferai l’entretien de ma voiture ici!!
— Ta chatte est si profonde, elle mouille si fort et elle enserre bien ma bite, c’est vraiment le pied.
— Ouuui, ouiiii enfonce entièrement ton énorme bite. Défonce ma chatte, encore plus fort!!
— Petite Salope de blonde, tu vas m’avoir!! Je ne vais pas tarder à jouir!!
— Moi, tu m’as donné au moins deux orgasmes. Tu le mérites, mais juste un truc, évites d’éjaculer en moi.
Il repousse mon buste sur le matelas, m’attrape fermement aux hanches, les mains sous mon porte-jarretelles, il se met à trembler, je sens la contraction de ses énormes couilles, les soubresauts du boa à l’intérieur de mon vagin, et un flot de sperme tiède m’inonde.
— Merde, vous le faites exprès, je ne voulais pas que tu éjacules en moi!
— Oooooohhhh putain, je n’ai pas pu résister, c’est la première fois que je déverse ma semence dans une jeune blonde. C’est trop bon. Je n’ai jamais baisé une jolie fille comme toi!
Je reprend mes esprits, en le regardant, je me traite d’obsédée sexuelle, il ressemble à un monstre vraiment disgracieux, avec les triples bourrelets de son ventre, ses cuisses graisseuses, ses pectoraux flasques recouverts d’une toison grisonnante, sa grosse tête presque chauve, mal rasé, sa grosse bite qui maintenant pend flasque, ses poils pubiens sont collés par le sperme. Mais il m’a énormément fait jouir. Je vais jusqu’à la voiture, je récupère mes clés. Je suis en train m’habiller quand mon portable sonne. C’est Alfred, je prends l’appel visio.
— Ben dis donc Trixie, il est quinze heures, cela fait un sacré bout de temps que tu es partie! Il ne t’est rien arrivé? Mais, mais, recule ton téléphone. Oooohhh, mais je vois que tu es nue avec seulement tes bas et ton porte-jarretelles! Tu viens de baiser? C’est pas vrai! Montre moi ta chatte!Putain c’est du sperme qui coule?
— Alfred, rien de bien méchant. J’ai été retardée par un petit incident.
— Mais qui est ce gros mec noir, affreux derrière toi? C’est lui qui t’a baisé?
Je me retourne, le patron, c’est approché, nu, la nouvelle facture à la main.
— Heu, c’est un garagiste, j’ai eu petit problème avec la voiture
— Tu l’as fait réparer, et pour payer tu as couché avec le gros que je vois derrière toi?
— Oui, c’est un peu ça!
— Il est à poil? Montre-moi sa bite! Oh putain, quelle est grosse! Il t’a fait jouir, petite Salope?
Bon, eh bien ça m’excite tout ça, tu vas te débrouiller pour l’amener à la maison. Allez à tout de suite, je vous attends, je voudrais bien profiter du spectacle moi aussi! Et tu sais que tu vas avoir droit à une punition pour avoir abîmé la voiture! Je t’avais prévenu! Mais ce mec, il est surtout comme je les aime, laid, noir, obèse et vieux, je vais adorer le voir te baiser!
— Oui, mais le camion à…
Il raccroche. Je sais ce qu’il attend de moi maintenant, la punition consistera à satisfaire son candaulisme, il adore me voir baiser par des étrangers, et au plus, ils sont laids, gros, au plus il aime cela et si de surcroît, s’ils sont noirs, c’est la cerise sur le gâteau. J’ai pris goût à ces jeux érotiques, Alfred me passe tous mes caprices, et de ce fait, il m’est difficile de dire non à ses désirs, du moins c’est la raison que je me donne pour lui obéir, et subir la punition qui consistera sûrement à me faire baiser par le garagiste. Je m’habille, le gros patron me tend la facture.
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